TÃtol : |
Illusions perdues |
Tipus de document : |
text imprès |
Autors : |
Honoré de Balzac ; Gaëtan Picon, ; Patrick Berthier (1947-....), ; Gaëtan Picon, Prologuista, etc. ; Patrick Berthier, Autor del material d'acompanyament |
Editorial : |
Paris : Gallimard |
Data de publicació : |
1996 |
Col·lecció : |
Folio. Classique |
Subcol·lecció : |
Classique. núm. 62 |
Nombre de pà gines : |
699 p. |
Dimensions : |
18 cm |
ISBN/ISSN/DL : |
978-2-07-036062-8 |
Nota general : |
Apèndix |
Idioma : |
Francès (fre) |
Classificació : |
NF Narrativa en francès |
Resum : |
On causait à cœur ouvert. Hector Merlin seul ne riait pas. Lucien lui demanda la raison de sa raison. - Mais je vous vois entrant dans le monde littéraire et journaliste avec des illusions. Vous croyez aux amis. Nous sommes tous amis ou ennemis selon les circonstances... Vous vous apercevrez avant peu que vous n'obtiendrez rien par les beaux sentiments. Si vous êtes bon, faites-vous méchant. Soyez hargneux par calcul... Pour être aimé, ne quittez jamais votre maîtresse sans l'avoir fait pleurer un peu ; pour faire fortune en littérature, blessez toujours tout le monde, même vos amis, faites pleurer les amours-propres : tout le monde vous caressera. |
Illusions perdues [text imprès] / Honoré de Balzac ; Gaëtan Picon, ; Patrick Berthier (1947-....), ; Gaëtan Picon, Prologuista, etc. ; Patrick Berthier, Autor del material d'acompanyament . - Paris : Gallimard, 1996 . - 699 p. ; 18 cm. - ( Folio. Classique. Classique.; 62) . ISBN : 978-2-07-036062-8 Apèndix Idioma : Francès ( fre)
Classificació : |
NF Narrativa en francès |
Resum : |
On causait à cœur ouvert. Hector Merlin seul ne riait pas. Lucien lui demanda la raison de sa raison. - Mais je vous vois entrant dans le monde littéraire et journaliste avec des illusions. Vous croyez aux amis. Nous sommes tous amis ou ennemis selon les circonstances... Vous vous apercevrez avant peu que vous n'obtiendrez rien par les beaux sentiments. Si vous êtes bon, faites-vous méchant. Soyez hargneux par calcul... Pour être aimé, ne quittez jamais votre maîtresse sans l'avoir fait pleurer un peu ; pour faire fortune en littérature, blessez toujours tout le monde, même vos amis, faites pleurer les amours-propres : tout le monde vous caressera. |
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