TÃtol : |
Le Horla : Première et deuxième version suivi de Lettre d'un fou |
Tipus de document : |
text imprès |
Autors : |
Guy de Maupassant ; Martine Bercot, Editor |
Editorial : |
Paris : Librairie Générale Française |
Data de publicació : |
1994 |
Col·lecció : |
Le Livre de poche |
Subcol·lecció : |
Les classiques d'aujourd'hui núm. 13646 |
Nombre de pà gines : |
93 p. |
Dimensions : |
18 cm |
ISBN/ISSN/DL : |
978-2-253-13646-0 |
Nota general : |
Bibliografia |
Idioma : |
Francès (fre) |
Classificació : |
NF Narrativa en francès |
Resum : |
Un matin, comme je me promenais près de mon parterre de rosiers, je vis, je vis distinctement tout près de moi, la tige d'une des plus belles roses se casser comme si une main invisible l'eût cueillie, la fleur resta suspendue dans l'air transparent, toute seule, immobile, effrayante, à trois pas de mes yeux.
Saisi d'une épouvante folle, je me jetai sur elle pour la saisir. Je ne trouvai rien. Elle avait disparu...
A partir de ce moment-là , je sus qu'il existait près de moi un être invisible qui m'avait hanté et qui revenait. Un peu plus tard, j'en eus la preuve.
Confession lucide et maîtrisée d'un homme qui assiste au naufrage de sa propre raison, Le Horla nous révèle la trajectoire secrète et fulgurante qui relie la plénitude de la santé au martyre de la démence. Nul autre récit fantastique - en raison, peut-être, de certains accents autobiographiques - n'a développé avec plus de rigueur, et de vérité clinique l'implacable logique de l'imaginaire. |
Le Horla : Première et deuxième version suivi de Lettre d'un fou [text imprès] / Guy de Maupassant ; Martine Bercot, Editor . - Paris : Librairie Générale Française, 1994 . - 93 p. ; 18 cm. - ( Le Livre de poche. Les classiques d'aujourd'hui; 13646) . ISBN : 978-2-253-13646-0 Bibliografia Idioma : Francès ( fre)
Classificació : |
NF Narrativa en francès |
Resum : |
Un matin, comme je me promenais près de mon parterre de rosiers, je vis, je vis distinctement tout près de moi, la tige d'une des plus belles roses se casser comme si une main invisible l'eût cueillie, la fleur resta suspendue dans l'air transparent, toute seule, immobile, effrayante, à trois pas de mes yeux.
Saisi d'une épouvante folle, je me jetai sur elle pour la saisir. Je ne trouvai rien. Elle avait disparu...
A partir de ce moment-là , je sus qu'il existait près de moi un être invisible qui m'avait hanté et qui revenait. Un peu plus tard, j'en eus la preuve.
Confession lucide et maîtrisée d'un homme qui assiste au naufrage de sa propre raison, Le Horla nous révèle la trajectoire secrète et fulgurante qui relie la plénitude de la santé au martyre de la démence. Nul autre récit fantastique - en raison, peut-être, de certains accents autobiographiques - n'a développé avec plus de rigueur, et de vérité clinique l'implacable logique de l'imaginaire. |
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